En 1280, on ouvre dans chacun des bras du transept un beau portail sculpté : portail de la
Calende au Sud, portail des
Libraires au Nord.
Les revers (partie intérieure) des portails sont marqués
par le gothique rayonnant. Au 14ème siècle, il n’y
a plus de murs nus : tout l’ensemble est couvert de sculptures.
Comme à la chapelle de la Vierge, on veut beaucoup de lumière : alors, le triforium devient une « claire-voie » bordée de fenêtres. Au-dessus s’ouvre une immense
rose.
Parmi toutes les
verrières qui éclairent le transept, la plus
célèbre, à gauche du portail de la Calende, date
de la Renaissance. Elle raconte la vie de Saint Romain et les vertus qu’il a pratiquées.
Au 16ème siècle, les vitraux sont de grands tableaux, aux couleurs éblouissantes.
Dans la chapelle Sainte Jeanne d’Arc, de beaux vitraux modernes illustrent la vie de la Sainte et son martyr sur le bûcher, à Rouen.